De retour (libre )

Brandelis qui était sur une branche d'un arbre non loin de la taverne, envoya son faucon a l'intérieur de l'auberge vers le jeune homme qui a ce que Brandelis pouvait en croire connaissait très bien le barman.

-Brezus emmène lui le message.

Brandelis fît un léger geste de la main et le faucon parti aussitôt. Brezus arriva sur le contoir avec une lettre dans la bouche qu'il donna aussitôt au jeune homme. La lettre dissait ceci:

-Bonsoir mon chère,

Premièrement je vais répondre a votre question de pourquoi je crie comme vous dites être un assasin. Tout simplement que je suis assez connu dans plusieur grande guilde elfique. Je crois malheureusement que ma gloire n'est pas parvenu jusque içi. J'ai entendu votre discussion grâce a mon ouis assez avancer et j'accepte volontier votre défi si tel est votre désir. Mais juste vous prévenir que depuis plus de 20 ans je m'entraîne dans l'art du vol et de l'assasina, et que si j'ai dit si haut mon travail c'est que les personnes sont tellement saoul que demain il ne se rappellerons même pas d'être venu dans cette taverne.

Donc je vous attend a l'extérieur si vous voulez toujours vous mesurer a moi mais je dois vous avouez que je n'aurais pas le plus grand plaisir de vous blesser.

Cordialement,

Brandelis Awèn

Leander eut un sourire qui en disait long sur ce qu'il pensait. Toujorus est-il qu'il sortit une plume de sa manche ainsi que de l'encre. En effet, il en avait toujours sur lui... Par fois, il était nécessaire d'écrire plutôt que de parler dans des lieux publics...

Cher Brandelis,

Je suis ravi de voir que vous acceptez ce petit défi que je vous propose. Je tiens cependant à vous dire qu'il ne convient pas à un homme de chasser sur le territoire d'un autre... Il faut d'abord lui demander si cela ne le gêne pas. Ensuite, le métier d'assassin est très peu reconnu, il est même méprisé... La fée qui vous accompagnait a l'air d'occuper un poste important dans la société avalonnienne et je pense que vous avez fait une erreur en lui révélant votre véritable métier. Mais cela ne me regarde pas, après tout... Moi et ma compagne allons sortir dans une dizaine des minutes. Veuillez nous rejoindre sur la Place du Marché. Elle est actuellement déserte et nous n'aurons aucun mal à faire notre petit combat...

Leander plia la lettre et la rentra dans le petit tube que portait le faucon à sa patte celui-ci s'envola vers un arbre, à l'extérieur de la taverne. Cela fait, il s'adressa à Urielle :

Le duel est arrangé... Arrête donc de boire, tu n'auras plus besoin de cela aujourd'hui.

Brandelis lu le message avec un léger sourire avant de lui renvoyer le faucon.

-D'accord le défi est accepter et veuillez prendre notre que je connais la fée ainsi que sa protéger et je peux même dire que nous sommes amis même si selon moi l'amitié n'est rien de plus qu'un lourd fardaux car il faut les protégers du mal et vous connaissez le reste.

Leander prit le message de la patte du faucon, le lut et le déchira. D'une voix grave, il murmura :

C'est faux. L'amitié n'est pas un fardeau, il peut aussi être un réconfort. Mais ça, tu l'apprendras peut-être un jour. Et peut-être à tes dépends...

L'assassin posa une pièce sur la table pour payer les consommations et se leva. Il s'adressa alors à Urielle et lui dit :

Allez viens, on y va. Un elfe nous attend dehors.

Là-dessus, il partit en direction de la place du marché.